On ne le dira jamais assez, l’enjeu majeur d’une démarche RSE est de relier les 3 piliers du développement durable. Pour l’entreprise, la mise en place d’une politique RSE ne doit pas être vécue comme une contrainte. Il s’agit encore moins de pratiquer du « greenwashing » qui, à terme donne une mauvaise image de l’entreprise car jugé comme une opération Marketing mal ficelée.
Une démarche RSE doit s’inscrire dans le temps et correspondre aux spécificités de l’entreprise, vue aujourd’hui comme l’entreprise citoyenne, c’est-à-dire ayant à cœur l’intérêt collectif. Ainsi chaque entreprise définira ses propres indicateurs RSE dans les 3 domaines principaux.
La RSE amène à terme l’entreprise à repenser son environnement et les acteurs qui le composent dans une optique d’optimisation. L’éthique est au cœur du débat RSE. En agissant à la fois sur les critères économiques et sociétaux au sein de son propre écosystème, l’entreprise repense les interactions et crée de la plus-value par l’instauration d’un cercle vertueux.
De récentes études ont montré que les entreprises RSE sont jusqu’à 13% plus performantes que les entreprises non RSE du même secteur d’activité.
S’engager dans la démarche RSE
La RSE ne passe pas simplement par la signature d’une charte (même si c’est un bon début), mais par des actions concrètes dans l’entreprise.